Point de vue sur la théorie de Darwin
L’arbre généalogique de l’Homo Sapiens, dressé par Darwin en 1859, atteste que l’homme actuel descendrait en ligne plus ou moins directe de l’Australopithèque, trop lointain ancêtre pour le définir comme faisant partie de la lignée. Darwin, dans son ouvrage, parle de l’adaptation d’une même espèce sur son environnement en mutant vers ce qui est aujourd’hui l’Homo Sapiens.
Selon lui, l’Australopithèque se serait muté, à travers les millénaires, pour créer une espèce ayant plus les traits propres au genre Homo. De plus, selon l’écrit de Darwin, l’évolution des espèces-ancêtres se serait fait par séléction naturelle, ce qui signifie que des ancêtres de l’Homo Sapiens auraient progressés dans leur adaptation plus rapidement que d’autres espèces similaires. Ces deux genre Homo, pourtant semblables, auraient évolués de manières individuelles ; la constitution plus développée de l’un aurait triomphé de celle plus faible de l’espèce ne s’ayant pas adapté rapidement à son environnement immédiat.
Selon moi, l’arbre généalogique de l’Homo Sapiens, imaginé puis mis en oeuvre par Darwin au milieu du 19e siècle a quelques lacunes qui sont obscures. Un même être humain a besoin de beaucoup de temps pour muter à meilleur, et, surtout, a besoin d’un intermédiaire plus développé pour créer une nouvelle espèce possédant plus d’avantages. Dans son ouvrage, Mr. Darwin tenta d’éclaircir les zones manquantes ; les espèces-mutantes manquantes. Toutefois, l’idée qu’une seule espèce d’être Humain nacquit et vécut de la même apparence, du début des temps au temps actuel est exclut, personnellement, car toutes les informations que nous possédont de nos jours sont basées sur le fait que nous avons évolués- et que nous continuons de le faire à chaque génération qui passe.
Les meilleurs exemples que je puis trouver de la différence qui nous sépare de l’Homo Sapiens serait les molaires – communément appelées dent de sagesse en Amérique du Nord, dent de 20 ans en Turquie et dent de l’amour en Corée – héritage des plus anciens ancêtres connus. Cependant, si nous regardons la formation des dents des genre Homo, les molaires arrières sont toutes présentes, car ils observaient tous, pour la plupart, le régime riche en protéines, soit carnivore. Ainsi, avec l’apparition des végétariens, certaines personnes n’utilisèrent plus les molaires, ce qui créa, pendant des longues plages de temps, la disparition progressive des molaires sur les dentitions des humains actuels. Certains, cependant, on une dentition de 32 dents, tandis que d’autre n’en possèdent que 31, ou même 29, dans quelques cas.
L’autre exemple que je donnerait pour appuyer ma théorie, serait le coccys humain. Autrefois, cet os, résultant de la soudure de quatre à six vertèbres, était utilisé pour soutenir une queue, qui, comme la plupart des rongeurs et mammifères en possédant une, servait de balancier et d’arme relative contre les moustiques. Au cours des siècles suivant, le coccys s’est amincie et la queue disparut, pour cause que la colonne vertébrale de l’Homo en question était plus apte à le soutenir sans cette aide futile.
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